Passé et présent [PV Ukitake]

Il paraissait que la nuit portait conseil. Il paraissait. En tout cas, Yoake avait de plus en plus de mal à croire ce vieux proverbe... Cela devait faire plusieurs nuit d'affilié que Yoake se retournait encore et encore dans son lit, emmêlant les draps autour de son corps fin et souple. Et ce n'était que l'épuisement d'une longue journée qui l'emportait, et forçait les bras de Morphée pour l'accueillir. Pourtant, même dans ses rêves, la jeune femme tourmentait son esprit avec de trop nombreuses questions. Sa rencontre avec son capitaine avait réveillé de nombreuses blessures qu'elle croyait fermées à jamais... Il fallait croire que ce n'était pas le cas. Elle avait simplement oublié la douleur. Ou plutôt, elle s'y était habituée... Lequel était le pire ? Les deux, sans aucun doute. Pourtant, elle s'y était préparée. Elle savait parfaitement ce qui allait se passer... Mais elle pensait trouver un capitaine froid, supérieur... Bref, un véritable officier en tout cas. Mais au contraire, cet homme respirait la confiance et l'amour. Il semblait presque honnête quand il avait affirmé oublier le protocole... Que pouvait-il avoir en tête ? Qu'avait-il à y gagner ? Il ne la connaissait pas, ne savait pas son passé, ses aptitudes, était-il assez fou pour tenter de l'utiliser alors qu'il ne connaissait rien d'elle ? Yoake se retourna une énième fois dans son lit, avant de repousser les couvertures. Ce n'était pas encore cette nuit qu'elle parviendrait à dormir sans le moindre problème...

Et elle en avait marre de se battre avec ses pensées pour s'endormir, tout ça pour se réveiller aussi fatiguée qu'au départ. Elle se leva, et prit sa tête entre ses mains... Allez, c'était repartie pour une balade nocturne... Elle avait besoin de se dépenser. Sautant sur ses pieds, elle enfila rapidement son kimono noir de shinigami et attrapa son sabre, le ceignant dans son dos. Puis, sans le moindre bruit telle une ombre, elle se glissa avec agilité dans l'obscurité rassurante de la nuit... Elle s'immobilisa au sommet d'un piquet, huma l'air humide avant de reprendre sa route. Elle avait repéré les rondes des gardes, et savait à présent comment et par où passer pour les éviter. Elle s'autorisa un instant de pause pour lever la tête vers le ciel. Ce n'était pas encore la pleine Lune -pas encore-... Mais dans deux ou trois nuits, elle serait ronde et étincelante. Entendant des bruits de pas près d'elle, elle maudit son manque d'attention et se glissa rapidement dans les ténèbres. Bon, où allait-elle aller maintenant ? Un bref instant de réflexion lui suffit pour décider de retourner sur le mur, isolé et à l'écart... Là-bas, personne ne viendrait la déranger, elle en était sûre. Elle se remémora mentalement le chemin, avant de filer dans la nuit, rejoignant son objectif. Elle ne s'arrêta qu'une fois arrivée à son but, s'accroupissant au sommet de celui-ci. Elle croisa ses bras autour de ses genoux repliés et posa doucement son visage dessus. Seul le vent dansant dans les feuilles venait perturber le calme ambiant... Un nouveau soupire vint se mêler à l'air. Elle se sentait bien ici... Doucement, elle laissa son esprit vagabonder jusqu'à rejoindre son passé... Contre son gré, une vision violente et agressive lui assaillit l'esprit.

-----Flash Back-----

Il fait jour. Du moins, il devrait le faire... Mais le soleil semble s'être cacher aujourd'hui, car aucune lumière ne vient éclairer le champ de ruine qui s'étend à leurs pieds. Un jeune homme est debout en hauteur, droit comme un piquet, contemplant le spectacle... En contre-bas, des hommes se battent encore, à bout de force, mais tiennent encore debout avec l'énergie du désespoir. Il fallait tenir... il fallait survivre ! La bataille était bientôt terminée, bientôt, tout serait fini... Et cette guerre insensée prendra fin. L'horizon n'est fait que de sang, de cadavres, d'armes brisées, de morts et de ruines... Rien, absolument rien ne tient encore totalement debout. Pourtant, c'est presque avec un air blasé que le jeune homme contemple ce spectacle tant de fois vu et revu. Nulle originalité dans la guerre. Seulement des morts supplémentaires. Le camp de l'inconnu semble gagner, et remporte peu à peu du terrain... Cette bataille sera bientôt finie, et il le sait. Mais peut être pas de la façon dont il le croit. Au loin, des silhouettes se dessinent sur le champ de mort. Le jeune homme se crispe, et s'apprête à dégainer son sabre... quand une voix bien connue retentit derrière lui. Il se retourne vivement et se met au garde à vous face à son supérieur.

-Capitaine ! Des renforts ennemis viennent d'intervenir dans la bataille ! Je dois réagir et rappeler nos troupes ! Ils vont se faire massacrer !
-Du calme, chef de section, du calme... La situation est sous contrôle. Je vous ordonne de ne rien faire... En fait, nous venons de sceller une nouvelle alliance avec ces personnes, et disons que ces soldats sont devenus... gênants. Donc, je vous prierai de les laisser ainsi, à présent une nouvelle ère se lève... Et je vous conseille fortement d'y trouver votre place...

Ravalant sa rancœur, le jeune homme hocha la tête et salua son supérieur... C'était son officier, il se devait de lui obéir... Même si cela signifiait regarder sans bouger ses hommes, son unité, ses frères d'arme se faire massacrer sous ses yeux. Il était soldat. C'était son rôle. Et c'est sans la moindre honte ou hésitation que le jeune homme fit face à son choix, et regarda sans broncher les vies humaines d'éteindre une à une... Par sa faute. Parce qu'il obéissait aux ordres. Parce qu'il ne savait faire que ça. Sans qu'il ait besoin de bouger, il sentit la présence bien connu d'un autre homme plus vieux se tenir à sa gauche, légèrement en recul. Il n'était pas le seul coupable. Mais il serait seul à affronter ses décisions et les conséquences de ses actes quand viendrait l'heure du jugement. Et il ne regretterait rien. Parce que c'était pour quoi il avait toujours vécu. Ce pour quoi il était né. Oui... C'était simplement la seule chose qu'il savait faire. Pourtant, loin, très profondément enfoui dans son cœur, un long hurlement de rage et d'impuissance résonna. Un hurlement mélodieux trahissant le désespoir et la tristesse. Oui... un long hurlement de douleur, mais féminin.

-----Fin du Flash Back-----

Et voilà, ça avait recommencé. Depuis maintenant six ans, ces visions d'horreur venaient s'infiltrer sournoisement dans ses rêves, peuplant ses cauchemars et la sortant des bras de Morphée... Sa récente rencontre avec son supérieur n'avait fait que remonté à la surface tout ces souvenirs... Agacée, Yoake claqua ses mâchoires l'une contre l'autre. Foutus officiers ! Même morts ils continuaient à la tourmenter... Enfouissant totalement son visage dans ses bras croisés, Yoake tenta de calmer son rythme cardiaque. Dans son dos, son sabre, sentant son trouble, émettait de faibles vibrations apaisantes pour la relaxer... Prenant une grande inspiration, Yoake releva la tête et se re-concentra sur les alentours, et sur les bruits de p... Les bruits de pas? Quels bruits de pas? Soudainement alarmée -une shinigami n'était pas censée de retrouver dehors à une heure pareille- Yoake se redressa vivement et sauta à bas de son mur. Maudit passé, perdue dans ses pensées elle n'avait pas fait attention à ce qui l'entourait ! Serrant les dents, elle se rendit compte qu'il était trop tard pour s'échapper... surtout qu'il n'y avait nul part où se cacher. Tant pis, il allait falloir qu'elle se débrouille pour trouver une excuse potable... Se rasseyant sur le mur, Yoake attendit patiement que l'inconnu se montre...

Encore une belle nuit que seul l’été pouvait donner, en effet le ciel était noir et sans aucuns nuages on pouvait voir parfaitement les étoiles et la lune qui était presque pleine, sa lumière pale traversé la petite fenêtre en bois d’Ukitake celui-ci était allongé sur un Futon avec la lune pour lampe de chevet et la bruit de sa petite fontaine chinoise pour seul berceuse il dormait plutôt bien mais alors que la nuit était bien avancée il quitta les bras de Morphée pour une raison inconnu. Lui qui était allongé sur le futon ce redressa lentement puis regarda la lune a travers sa fenêtre elle était vraiment belle c’était peut être sa lumière qui avait réveillé Jyoushiro en tous cas ce n’était pas l’eau qui s’écoulé de la fontaine puisqu’elle n’avait jamais déranger et il adoré ce bruit si doux a ses oreilles, après quelques réflexions le décoloré compris que ce n’était pas la lune mais la chaleur ambiante elle devait dépasser les trente degrés il marcha donc jusqu'à la fontaine et arrosa son visage avec l’eau de celle-ci ce qui le rafraichis assez bien il marcha ensuite d’un pas lent jusqu'à son armoire il quitta alors sa tunique bleu ciel pour enfiler un Kimono noir celui-ci était tenu par une ceinture blanche il saisit alors une autre veste plutôt longue elle était blanche et on pouvait voir le symbole de la 13e division frappé sur le dos de celle-ci on pouvait aussi voir le perce neige le symbole de la dite division enfin bref comme vous l’avez devinez il s’agissait de l’Haori traditionnel des capitaines, le décoloré en possédait deux et il les gardait précieusement il n’aimait pas vraiment le gaspillage et ça faisait bien longtemps qu’il possédait la même a vrai dire le blanc lui allait toujours très bien et il le portait depuis ses début en Shinigami en effet déjà en étudiant il portait l’uniforme blanc, les Shinigami de la 1er division étant blanc il peut porter cette couleur même en étant 3e siège et il porte donc le Haori blanc des capitaine depuis environs trois cent ans…

Bref je m’égard un peut… C’est donc avec cette veste qu’il ouvrit la porte coulissante de sa chambre puis sortit dehors et la a son plus grand bonheur il sentit une légère brise lui caresser doucement le visage, décidément que de contraste d’abord la chaleur et maintenant le vent, dame nature savait elle ce qu’elle voulait ? Enfin a vrai dire ce petit zéphire plaisait beaucoup au capitaine dont les cheveux volé a cause de cette petite brise… Il ce mit ensuite a marcher dans un long corridor puis se retrouvèrent dans les jardins de la 13e ils se trouvaient prêt d’un petit lac au dessus de qu’elle les oiseaux volé la journée et que les lucioles illuminé il avait vraiment de la chance de vivre a coté d’un si beau paysage, c’est donc dans ce cadre plutôt beau qu’il avança doucement dans le couloir tout en observant la lune, il la regarder mais continué a marcher et le tête en l’air qu’il était ne se rendait même pas compte que ses pas se faisait plus lourd ce qui allait surement embêter les « voisins » qui étaient en faites les Shinigami de la caserne, après environs dix minute son nez sentit un parfum plutôt doux qu’il avait déjà sentit plus tôt dans la journée il était assez agréable et après avoir posé sa main gauche sur le haut de son crane par reflexe il se souvint a qui appartenait cette odeur il s’agissait de la nouvel recrus de la 13e division Yoake Amado la nouvel 4e siège c’était elle qui remplacé l’ancien un homme plutôt courageux qui avait était tué en mission il y a environs un mois encore une épreuve plutôt difficile pour Jyoushiro qui est quelqu’un de plutôt attacher aux membres de sa division dont Kuchiki-san la jeune sœur de Byakuya une fille vraiment courageuse qui avait du affronté bien des malheur dont la mort de l’ex lieutenant de la dernière des divisions Shiba Kaien une mort qui perturba beaucoup notre ami javellisé…

Le capitaine s’approcha lentement de la brune qui semblait l’avoir repéré il marcher d’un pas plutôt léger contrairement a celui de tout a l’heure car il venait de remarquer son erreur il s’approcha donc de la 4e siège immobile puis posa doucement sa main chaude sur l’épaule de Yoake elle tourna alors la tête par reflexe et fut plutôt étonner de voir son Taicho avec un grand sourire aux lèvres, il semblait même heureux de la trouver la et c’était un peut le cas il penser être le seul de la 13e debout a cette heure la, et un peut de parlotte ne pouvait pas lui faire de mal surtout avec cette nouvelle recru ca aller lui permettre de la connaitre un peut plus il passa sa main gauche sans ses longs cheveux blanc puis dit d’une voix plutôt amicale :

« Tiens… Je ne suis donc pas le seul noctambule de cette division je suis contant de voir quelqu’un par ici… »

Sur ces mots le capitaine lâcha doucement l’épaule de sa subordonnée puis alla s’assoir a environs quarante centimètre de la jeune femme il n’avait pas amené son Zanpakuto, pour lui ça ne servait a rien surtout dans les quartiers de sa propres division et après tous il maitrisé plutôt bien le Kido ce qui lui permettre de ce défendre en cas d’attaque, Yoake elle l’avait sure elle mais a voir ses yeux c’était devenu une sorte de tic que de gardé cette arme sur elle il leva alors les yeux aux ciel pour regarder les étoiles il ce demandait un peut si celle du monde des humains était les mêmes en tous cas celles-ci était vraiment belles il lâcha ensuite un soupire plutôt comique puis tourna sa tête vers la jeune fille et dit :

« Alors… J’espère que tu t’es bien intégré dans la division Yoake-san… Tu a déjà du rencontré Kiyonne et Sentarou… »

Fit il avec l’intention d’engager la conversation avec la Shinigami qui était toute proche de lui, il avait mentionné Kiyonne et Sentarou parce que ces deux la étaient un peut partout dans la treizième division et ils s’occupé un peut de tout ce dont il ne pouvait pas s’occuper il remplacé en quelque sorte Kaien-Dono mais malgré ça la place de lieutenant était toujours vacante et les nouveaux arrivant était toujours étonner par ceci et Yoake aussi devait être un peut surprise enfin bref… Le décoloré attendit la réponse de la femme…

Yoake ne remarqua pas tout de suite l'identité de l'inconnu à cause de l'obscurité ambiante... En réalité, c'est grâce à la signature de sa pression spirituelle qu'elle le reconnut, et son haori blanc acheva de chasser ses doutes. Elle ne pouvait pas plus mal tomber. C'était bel et bien son capitaine qui venait la rejoindre en haut de son mur. Immédiatement, la jeune femme sauta sur ses pieds et salua son supérieur d'un beau garde à vous et d'une tenue irréprochable. Les yeux plantés loin devant elle, les muscles tendus, le dos bien droit, bref, son manque totale de personnalisation dans son salut laissait une sensation étrange, comme si ce n'était qu'une enveloppe vide sans âme ni volonté... A sa grande surprise l'homme posa presque chaleureusement sa main sur son épaule, et elle se raidit son contact. Quoi, qu'avait-elle fait de mal encore ? Par réflexe, elle détourna la tête, prête à recevoir un coup, ou une claque qui ne vint pas... à sa plus grande surprise. Déstabilisée et intriguée, elle attendit la suite des événements... Ah, nous y voilà, il allait lui reprocher de sorti... non? Il était content de la voir ici? Fallait-il qu'elle prenne ça dans le sens 'Il me manquait une victime mes subordonnés sont trop sages donc je vais me venger sur toi' ? Non, décidément, elle était réellement intriguée par ce capitaine qui, à première vue, ne lui voulait pas de mal. A première vue seulement. Yoake se retint de mordiller sa lèvre, signe qu'elle réfléchissait. S'il ne comptait vraiment pas lui faire de mal, la tuer, ou juste lui coller tout l'État Major sur le dos, alors peut être pourrait-elle profiter de cette rencontre pour en apprendre un peu plus sur lui ? Elle se gifla mentalement. Non mais c'était quoi cette histoire, depuis quand désirait-elle connaître quelqu'un, et un officier qui plus est ! Mais... il dégageait une sensation étrange, à la fois calme et apaisante, douce mais puissante... Ne se détendant pourtant pas d'un pouce, Yoake resta militairement au garde à vous, ne bronchant pas quand son capitaine s'assit près d'elle...

Ne le regardant pas, ne bougeant pas, ne cillant pas, respirant à peine -elle avait appris à le faire sans que ça se voit- Yoake n'avait pas l'intention de frémir le moindre muscle sans l'ordre direct de son capitaine. Elle serra les dents quand son sabre dans son dos lui fit part de son mécontentement... Si elle le détestait tant que ça, alors qu'elle le laisse le tuer, s'enfoncer dans sa chair, mettre à nu ses sentiments, déchirer son esprit, se repaitre de ses muscles, s'abreuver de son sang, s'enivrer du doux parfum de ce dernier, d'écouter ses hurlements pendant qu'il l... Yoake ordonna mentalement et fermement à son sabre de stopper immédiatement ses simagrées... C'était son supérieur, et qu'elle l'aime ou non elle lui devait obéissance. Un point, c'était tout. Elle finit par clore son esprit et l'âme habitant la longue lame d'acier partit bouder dans son coin... Intérieurement, Yoake soupira. Ce n'était pas si grave, il faisait la tête à chaque fois qu'elle lui refusait une victime... C'est à dire très souvent. En réalité, Yoake n'était jamais sans arme. Son sabre était à portée de main en permanence, même quand elle dormait... Pour elle, être désarmée était un synonyme évident de mort dans les prochaines cinq minutes. D'ailleurs, ce n'était pas comme si elle avait uniquement un sabre accroché à son dos, oh que non... Ce n'était qu'une pièce visible, la partie émergée de l'iceberg. Sous les replis de son kimono, elle cachait une lame secrète dans sa manche, des couteaux à lancer, des kunai et autres joyeusetés du même genre... Bref, c'était plus par habitude et par instinct de survie que Yoake gardait toutes ses lames sur elle, à portée de main. Elle sut au bruissement de ses cheveux sur son kimono que le capitaine de sa Division levait la tête, certainement pour regarder les étoiles car il n'y avait rien d'autre à cet endroit là...

Elle ne répondit rien à ses premières paroles. C'était une affirmation, pas une question... Il n'attendait donc pas de réponse de sa part. Elle s'autorisa un très rapide et imperceptible coup d'œil quand l'homme poussa un soupire amusé, qui aurait pu être amusant s'il n'avait pas été un gradé. Comment cet homme arrivait à garder un immense sourire joyeux et rayonnant en permanence ? Ne savait-il pas que ce monde n'était pas meilleur que les autres, qu'il était inutile d'espérer car la nature humaine était profondément et naturellement corrompue et mauvaise ? En temps normal, elle aurait pris la personne par les épaules pour la secouer énergiquement, lui martelant le crâne pour qu'il perde tout de suite le moindre sourire... Non, ce n'était pas par sadisme. Mais plutôt parce qu'à ses yeux, on ne survivait pas longtemps quand on ne prenait pas conscience de ça... Une telle naïveté pouvait être touchante dans certains cas, mais là, il s'agissait d'un officier, quelqu'un qui devrait, qu'il le veuille ou non, les envoyer à la guerre se faire massacrer, tuer, voir même capturer et torturer... Alors, comment pouvait-il avoir ce large sourire chaleureux ? Était-il totalement stupide et à ce point désillusé ? Si Yoake était réellement déboussolée par l'attitude de son capitaine, elle n'en montra rien, restant dans la même position... Elle fronça cependant légèrement les sourcils... Kiyonne et Sentarou ? Les deux troisièmes sièges de sa Division -et donc, ses supérieurs par la même occasion- ? Oui, elle avait du les croiser dans les couloirs... D'une voix froide, sans émotion, presque robotique mais en même temps douce et calme, Yoake répondit au capitaine aux cheveux blancs :

-Capitaine, oui capitaine ! Je les ai croisé dans les couloirs, mais il semblerait qu'ils aient beaucoup de travail, ce qui les empêchent de rester très longtemps à la même place... Cependant, j'ai eu le temps de me présenter à eux, ils savent qui je suis.

Yoake se mordit la langue. Elle avait perdu l'habitude de parler à ses supérieurs hiérarchiques... Elle utilisait beaucoup trop de mots dans ses phrases, et avait du mal à trouver les mots justes pour aller droit à l'essentiel... Mais bon, peut être était-ce un moyen de connaitre les véritables sentiment de son capitaine, et de le connaitre lui aussi un peu mieux ?

Décidément cette fille était plutôt étrange, elle semblait être conditionné car lorsqu’il arriva a coté d’elle et lorsqu’elle le vit elle fit tout de suite un salut militaire et lorsque le décoloré posa les yeux sur Yoake celle-ci était droite comme un piquer, au début ceci étonna assez Jyoushiro puis celui-ci fit un petit sourire amusé il penser que c’était une bonne recrus mais a ce point la, la 13e division n’était pas une prison elle n’avait pas a réagir comme ça… Elle donnait l’impression d’être robotiser ou quelque chose du genre, son supérieur posa ensuite sa main sur l’épaule de la belle jeune femme qui bougea la tête… Penser elle que son capitaine aller la frapper lui donner un coup de poing ? C’était quasiment impossible surtout un membre de ça division si il l’aurait taper c’était pour une bonne raison pas pour le fait qu’elle soit rester dehors après le coucher du soleil a vrai dire il s’en ficher un peut de tous ça car lui aussi était noctambule et dès qu’une idée le tracasser ou qu’il ce sentait mal il aller dehors dans ce jardin écouter le bruit de l’eau et regarder les étoiles qui brillait dans le ciel a vrai dire c’était même un de ses passe temps préféré et ça lui rappeler bien des souvenirs. Oui ça lui rappeler l’époque ou il trainer toujours avec Shunsui lorsqu’ils étaient encore a l’académie ils leurs arrivaient souvent de partir dehors de trouver un coin tranquille et de regarder les astres nocturnes pendant des heures autours d’une bouteille de saké puis après un long moment le capitaine de la 8e division partait prendre une autres bouteilles de saké et revenait avec une jolie demoiselle ce qui faisait beaucoup rire le javellisé qui lui était plutôt sage avec ce genre de chose… Enfin bref la n’est pas la question…

Après un long silence plutôt pesant qui fut détendu par un soupire comique du taicho celui-ci reprit la parole pour engagé un peut la conversation et connaitre un peut mieux le caractère de cette nouvelle recrus, il lui demanda alors si elle avait rencontrait Kiyonne et Sentarou ces deux zozo qui étaient un peut les mascottes de la division au perce neige, ceux-ci était vraiment comique et se disputait toujours pour savoir lequel était le préféré du capitaine et lequel ou laquelle l’aimait le plus ces petites pitreries faisait souvent rire notre amie qui reprenait ça bonne humeur habituelle il espérait qu’ils avaient eux le même effet sur la jeune femme mais apparemment non puisqu’elle répondit d’une voix presque froide qu’elle les avaient croisés dans les couloirs mais qu’elle c’était juste présenté car ils semblaient avoir du travail… C’est vrai qu’ils avaient beaucoup de travail mais a ce point la c’est exagéré enfin le décoloré remarqua qu’elle avait dit deux fois capitaine dans sa phrase il lâcha alors un petit soupire puis s’approcha de la jambe de Yoake qui était un peut au dessus de lui et tira le pantalon de celle-ci un peut comme un enfant qui demande ça mère de lui acheter un jouer ou des bombons peut importe ceci semblât grandement étonner la brune Uki profita de ce moment pour prendre la parole avec une vois toujours aussi douce…

« Hey…Ne reste pas comme ça… Assis toi a coté de moi… Après tous je ne t’ai pas demandé de te lever Yoake-san… Ah et puis avant que ma p’tite tête n’oublie ne m’appel pas « Taicho » sans arrêt un simple Ukitake-sama suffira je ne suis pas un dieu après tous…Je n’ai jamais aimais le protocole… »

Dit il avec un grand sourire taquin, en entendant ça la jeune femme posa ses fesses a coté de celle de son supérieur qui lâcha un petit soupire de soulagement il avait réussit à la faire s’assoir…Elle semblait être dans son monde a elle un monde de militaire sans amour etc.… Il savait bien que si il parlait il allait toujours avoir une réponse stricte et bien carré il décida donc de raconter une histoire a la jeune fille enfin il allait répondre a une question que beaucoup de nouveaux ce posé… Il n’aimait pas trop la raconter mes bon…

« Tu sais beaucoup de gens me demandent pourquoi je souris presque tous le temps, certain me pensent niais, d’autre fou, en fait la réponse est tout autre, je n’ai jamais aimais jouer le caliméro mais depuis ma plus tendre enfance je suis atteins de la Tuberculose… Une maladie peut pratique mais malgré ça j’ai réussis a me hisser au rang de capitaine mais une dizaine d’années après j’ai perdu un de mes meilleurs ami qui était aussi mon vice capitaine Shiba Kaien. C’est donc a la mort de celui-ci que j’ai décidé de ne sourire, sourire pour oubliez cette tristesse et pour remplir mon esprit de bon souvenir ça peut paraitre fou mais au lieu de m’enfermer dans la tristesse…Je me contente de sourire aux gens… Enfin désolé de te raconter de tels histoire mais bon comme dirais mon ami Shunsui « Vers Minuit les langues se délies »… »

Yoake ? Conditionnée ? C'était une blague ? Yoake était bien pire que cela. C'était à se demander s'il restait seulement une âme dans cette enveloppe de chair et de sang... Elle n'avait jamais eu de vie à elle... Dans n'importe quel monde. Dans n'importe quelle vie. Je ne vais pas répéter, le sang, la guerre, blablabla, tout cela vous connaissez. Mais la seule manière de survivre à cela était d'effacer toute humanité, toute sensibilité, toute âme au plus profond de son être... Sinon, c'était le suicide assuré. Sans moral ni conscience, la vie était tellement simple... L'odeur grisante de la liberté était une drogue, et pourtant qui pouvait se prétendre d'être libre dans ce monde ? Certainement pas elle. Quelqu'un avait dit un jour que la liberté était l'illusion de choisir son destin... Oui, une illusion. C'était sur elles que reposaient le monde de toute façon... Chacun croyait prendre ses propres décisions, mais en réalité, il était tellement facile, tellement simple de les manipuler ! On leur montrant qu'une partie de la vérité, en cachant l'autre partie, atténuant certains points, exagérant les autres... Oui, l'être humain était d'une naïveté rarement égalée. La jeune femme ne bougea pas, et ne comptait pas le faire. Cependant, elle sentit une légère pression sur son kimono, ou plutôt un léger tiraillement. Il lui fallut rassembler tout son self-contrôle pour ne pas réagir au quart de tour et trancher net la main squatteuse de vêtement. On se calmait, c'était juste celle de son capitaine... Aucune raison de s'inquiéter pour si peu, après tout. Mais attendez... pourquoi il faisait ça d'ailleurs ? L'ex-Vasto Lorde fronça les sourcils et regarda avait un étonnement mêlé de curiosité son capitaine... Que voulait-il ? Qu'elle s'assoit ? Pourquoi ne pas lui avoir demandé directement dans ce cas ?

-A vos ordre, Ukitake-sama !

Sur ce, elle exécuta ce qu'elle avait à faire, à savoir s'assoir à côté de son capitaine, là où il lui ordonnait d'être. Tiens, un capitaine qui n'aimait pas le protocole ? Cherchait-il à la mettre en confiance pour obtenir quelque chose d'elle ? Yoake restait très méfiante vis-à-vis de l'homme au cheveux d'argent. Elle ne le connaissait pas, et même s'il l'intriguait, elle avait peur d'être une nouvelle fois déçue ou trahie... et la meilleure des solutions pour ne pas l'être était de ne faire confiance à personne, et de ne rien attendre en retour. C'était comme ça qu'elle marchait. L'officier sembla comprendre la philosophie de la jeune femme, car il ne chercha pas à lui reposer des questions qui n'auraient obtenues qu'une réponse rigoureusement choisie et clairement structurée... Sans bouger ni l'interrompre, Yoake écouta son supérieur parler de sa vie... La tuberculose, c'était donc cette maladie qui rongeait petit à petit son être... Étrangement, Yoake compris instantanément où le capitaine voulait en venir... Sourire n'est-ce pas... Mais lorsqu'on est triste... Même quand le monde semble s'écrouler autour de nous... Même quand la lumière semble être partie définitivement... Oui, elle comprenait pourquoi le capitaine souriait à présent... Elle laissa le silence s'installer entre eux, avant de prendre très prudemment la parole. D'une voix lente, mesurée, presque hésitante, Yoake lui répondit :

-Je... comprends... je crois. Pleurer ne sert à rien... Sourire garde toujours un certain intérêt en réalité... Les gens font beaucoup plus facilement confiance aux gens souriants et qui semblent ouverts... Je... Il y a longtemps de cela maintenant... J'avais suivi un entraînement particulier pour devenir assassin... Étrangement, ce n'était pas les leçons d'escrime, ou de biologie les plus dures mais... Savez-vous quelle était la chose la plus dure à apprendre ? Apprendre à sourire... Nous... qui n'avions jamais eu aucune raison d'être heureux... Il nous fallait faire croire le contraire... Et puis, je sais par expérience que les larmes ne ramènent pas les morts... Je refuse de pleurer pour ceux à qui j'ai pris la vie, ou qui ont donné la leur... Alors si je dois un jour les saluer... Je préfère le faire en riant !

Son dialogue était faible, entrecoupé de soupirs et de légères pause, à peine plus élevé que le murmure du vent. Cependant, on pouvait entendre à travers son récit une note de tristesse, de lassitude et de connaissance... Oui, elle savait de quoi elle parlait. C'était la première fois que Yoake parlait aussi longtemps autre que pour un rapport de mission à l'un de ses supérieurs. En réalité, elle tentait simplement de connaitre un peu mieux cet homme, et pour cela, elle devait en tester doucement les limites. D'abord hésitante, elle tourna la tête pour regarder son supérieur, attendant curieusement sa réaction. Elle n'avait aucune idée de la manière dont il réagirai à ses paroles, mais elle espérait secrètement ne pas avoir fait de gaffe... Trois jours à peine après son entrées dans sa Division, ça aurait été dommage de mettre sa hiérarchie à dos...

Ah, elle c’était enfin assise… Décidément il suffisait qu’un ordre sorte de la bouche du décoloré pour qu’elle l’exécute sans faire d’histoire mais ce n’était rien puisque maintenant elle était assise a coté de lui et n’était plus devant lui droite comme un piqué, et d’ailleurs son supérieur fit un grand sourire de satisfaction, puis lâcha un petit soupire de soulagement elle avait même dit « Ukitake-sama » au lieu de capitaine, celui-ci cambra alors son dos un peut comme un personnage qui s’étire d’une façon plutôt comique il remit alors le haut de son corps droit et regarda alors ça subordonné qui sembler le regarder du coin de l’œil, elle était vraiment mignonne et la jeune fille et son doux parfum envahissait les narines du taicho et même si il n’était pas piquant celui-ci fit éternué le supérieur de Yoake qui s’excusa quelque minute après…

Et voila une trentaine de minute c’était écouler et le décoloré arrivait maintenant a mieux cerné la jeune femme qui était assise a coté de lui surtout lorsqu’elle répondit a sa phrase, une phrase plutôt philosophique qui expliquer a la jeune femme pourquoi il souriait presque tout le temps, car bien sur parfois il pouvait avoir un visage stricte mais la plupart du temps il avait son célèbre sourire aux lèvres c’était en fait pour ne pas être triste, pour oublié les malheurs et le mal qui l’entouré, Yoake semblait avoir comprit tout ça et a la fin de la phrase elle prit la parole avec une voix plutôt hésitante et inquiète, a ce moment la son supérieur passa lentement sa main gauche dans ses longs cheveux blanc par reflexe il regarda ensuite le ciel tout en tendant une oreille pour écouter ce que disait la brune puisque c’était la moindre des politesses celles-ci parlait enfin de son passé même si c’était est abstraie elle lui dit qu’elle comprenait un peut ce qu’il voulait dire elle lui expliqua alors que plus jeune elle avait suivit un entrainement pour devenir assassin ce n’était pas l’escrime ou la biologie le plus difficile c’était d’apprendre a sourire en permanence, en entendant ça le décoloré lâcha un petit soupire compatissant que la jeune femme du entendre celui-ci enfin Ukitake tourna alors la tête pour fixé celle-ci dans les yeux puis il dit d’une voix douce…

« Je comprends ce que tu veux dire mais sache que maintenant ce n’est plus pareil…Et puis je suis sure que tu va te plaire dans cette division... »

Dit-il en observant les branches des arbres qui bougeait a cause du vent frais qui venait rafraichir le visage du javellisé, celui-ci ferma même les yeux pour mieux sentir cette bise. Il avait le don de toujours être réaliste mais tout ça en voyant toujours le bon coté des choses il trouvait toujours les mots qu’il fallait pour réconforter les gens et plus précisément les membres de sa division. Mais ce que Yoake n’avait pas l’air de comprendre que Jyoushiro basé sa relation avec les autres Shinigami de la division sur la confiance une confiance inébranlable qui faisait la force de la treizième, et alors qu’il aller prendre la parole il fut prit d’une petite crise toux qui dura à peine quarante seconde après celle-ci il passa sa main devant la bouche puis prit la parole avec le même ton qu’au par avant cette fois si il c’était un peut approcher de Yoake et leurs visage était environs a trente centimètre l’un l’autre c’est dans ce cadre qu’il prit la parole :

« Tu sais pour moi un capitaine doit toujours être la pour les membres de sa divisions c’est ce que l’on appel ‘Confiance’ alors si un jour tu te sens mal ou que tu a quelque chose a dire viens me voir, vu que je suis malade je n’ai pas beaucoup a faire… »

Sur ces mots le Taicho posa doucement sa main sur l’épaule de Yaoke puis lui fit un grand sourire il savait que ça allait surement la déranger ou au moins la perturber mais il espérait qu’avec ça elle allait comprendre ce qu’il voulait lui dire depuis une heure environs…

Yoake écoutait son capitaine sans broncher... Il ne l'avait pas puni, ni rappeler à l'ordre, ni foudroyer du regard, non, vraiment aucun de ses gestes ou paroles n'était agressifs ou réprobateur. Apparemment, il souhaitait simplement discuter avec elle... C'était intrigant. Se plaire dans cette division ? Oui certainement. Tant que les autres membres ne venaient pas lui chercher des crosses, tout se passerait bien... Et puis, ce n'était qu'une unité de combat comme une autre, avec des soldats qui s'appelaient ici des 'shinigami'... Alors ça ne changeait pas grand chose dans sa vie, bien au contraire. Bientôt, ils devraient aller se battre contre des Hollows, des Arrancars et toute la clique. Et là, ça ressemblerait réellement à une guerre de tout ce qu'il y a de plus basique, des morts, du sang, bref, c'était la guerre quoi. Donc, c'était exactement la même chose. Elle pensait vraiment que le capitaine se trompait sur ce point, mais elle se garda bien de lui en faire part... Règle numéro 1 de l'officier : L'officier a toujours raison. Règle numéro 2 : SI l'officier a tord, se référer à la règle numéro 1. Règle numéro 3 : Exécuter un ordre d'un officier était la plus belle chose qui pouvait vous arriver dans votre piètre existence. Et ainsi de suite... Il devait en avoir une bonne dizaine de ces règles là, qui n'étaient inscrites nulle part mais que l'on se devait de connaitre si on tenait à sa vie... D'une voix de plus en plus prudente, Yoake demanda :

-Ukitake-sama... Puis-je vous parler sans détour et très franchement ?

Elle préférait demander la permission... Au moins si ses prochaines paroles ne lui plaisaient pas, il ne pourrait pas dire de se taire, puisqu'il lui aurait donné son accord... Une fois l'accord reçu, la jeune femme se tourna vers lui et planta ses yeux bleu dans les siens. Dans sa tenue, son regard ou son expression, plus aucune trace du soldat qui était là quelques secondes avant. Son regard s'anima, et un large sourire prit possession de ses lèvres. Ce n'était pas en tant que soldat qu'elle allait lui parler non, mais bien en tant qu'être humain qui parlait non à son supérieur, mais à un autre être humain qui serait son égal. Prenant soudainement plus d'assurance, Yoake comptait marquer clairement la différence entre celle qu'il aurait sous ses ordres, et celle qu'elle était réellement. De plus, c'était aussi une façon de lui faire comprendre que ce qu'elle allait lui dire n'interviendrait pas dans ses actes au sein de la 13ème Division. Affichant un sourire rayonnant, sûre d'elle, plein d'assurance et peut être un peu arrogant, Yoake lui fit un clin d'œil avant d'ajouter fièrement :

-Je ne vous fais pas confiance. Et pour tout vous dire, je n'aime pas les officiers. Oh, ce n'est pas personnel hein, rassurez vous. Simplement, il est fort à parier que vous n'obtiendrez certainement jamais ma confiance, quel qu'elle soit... Alors, ne vous attendez pas à ce que je saute de joie en vous croisant dans un couloir. Ne vous en faites pas, ça n'interférera jamais dans mes actes ici, je continuerai d'obéir à vos ordres, même s'ils sont totalement absurdes... et même si je ne les approuve pas. Mais soyons clair. Je préférerai me pendre dans un lac d'acide plutôt que de vous accorder ma confiance...

SBAM ! Cqfd, ras, bon, ça c'est fait... Au moins, ça avait le mérite d'être clair. Elle ne réagit pas à la main qu'il posa sur son épaule, elle ne se raidit pas, ne se détendit pas... Non, celle que ses amis connaissaient, cette Yoake-là n'avait pas peur des contacts physiques, ne craignait même pas son capitaine et n'hésiterai pas à lui enfoncer son poing dans les abdos jusqu'à lui faire recracher ses poumons si celui-ci levait la main sur elle. Instable Yoake ? Mais non allons pas du tout... Il fallait dire aussi qu'avec tout ce qu'elle avait vécu, il lui aurait été difficile d'avoir une stabilité psychologique... Yoake pouvait se montrer très psychopathe quand elle le voulait. Enfin, elle eut à peine le temps de détourner les yeux qu'elle sentit quelque chose de chaud et d'agréable collé contre elle. Depuis quand le mur avait des bras pour l'enlacer...? Mais attendez une seconde, un mur... ce n'était pas chaud ! Elle ouvrit les yeux, mais la seule chose qu'elle vit était blanc et noir et... très doux au toucher. Une douce odeur fruitée arriva à son nez, soudainement en contact avec cette matière douce... Les yeux de Yoake s'écarquillèrent sous la surprise... Depuis quand les officiers prenaient leurs subordonnées dans leur bras ? Visiblement inquiète, Yoake lâcha avec une voix douce, mélodieuse mais teintée d'humour où transparaissait l'amusement, la surprise, et peut être une pointe de moquerie pas méchante du tout :

-Woooo, les chevaux de feux ! On se calme Ukitake-sama ! Ça fait trois jours que l'on se connait, et je suis bien désolée mais je ne couche pas le premier soir...

Finalement cette Yaoke semblait plutôt désillusion, sa Jyoushiro pouvait le voir dans ses yeux il avait le don de réussir à voir les sentiments d’une personne seulement en regardant les iris des personnes, avec lui le proverbe « Les yeux son le miroir de l’âme » prend tout sans sens ! Et il pouvait voir que la jeune femme avait était trahis par quelque chose ou encore par quelqu’un mais il ne savait pas de qui ou de quoi il s’agissait, mais une envi d’aidé cette jeune fille avait envahis son esprit il était un peut comme ça il voulait toujours aider les autres sans penser a lui-même ce qui fait de lui un capitaine plutôt exceptionnelle c’est d’ailleurs celle-ci qui le poussa a sauver Kuchiki Rukia lors de son exécution, il avait fait pour rien du tout mise a par un combat contre celui qui l’avait entrainé je veux bien sur parler du commandeur général Yamamoto Genryusai et d’ailleurs lorsque l’on y repense Shunsui avait bien aidé le décoloré lors de leurs combat contre leurs sensei… C’est dans des moments pareils que l’ont peut distinguer ses amis de ses ennemis, quoi que…Peut être pas puisque Aizen Sosuke avait berné tout le monde et était passé pour un gentil capitaine pendant des une centaine d’années même le décoloré avait était trompé lui qui penser avoir trouvé quelqu’un dont le caractère était proche du siens était tombé bien bas lorsqu’il avait apprit que celui-ci trahissait la Soul Society. Le javellisé se demandait même comment on pouvait faire semblant d’être une autre personne si longtemps, c’était presque de la schizophrénie et puis la façon dont il avait parlé a Jyuu’ est ce qui ce prenait vraiment pour un dieu ? A cause de Sosuke le capitaine du Gotei 13 aussi avait était trahis mais il avait préféré le haïr et rester souriant…

Enfin bref je ne vais pas faire une thèse sur ce traitre de capitaine de la cinquième division, pour que Yoake reprenne un peut confiance envers les officiers, il décida donc de lui expliquer comment marcher sa division selon lui en effet pour le décoloré la 13e était une division était une machine et les membres était les rouages et ce qui faisait marcher cette engin étrange c’était un carburant nommer confiance. Et oui le javellisé faisait confiance a tous les membres de sa divisions du 3e siège jusqu’au derniers des soldats ou des gardes et c’était un peut réciproque. Et il voulait que la jeune femme le comprenne et face de même pour qu’elle face disparaitre cette aine des chefs de division, il voulait qu’elle ne devienne pas une fille qui penser que tous les capitaines n’était que des ordures. Mais vu la façon dont elle venait de lui répondre ce n’était pas sure, en effet elle lui demanda d’abord si elle pouvait répondre en toute franchise il hocha alors la tête avec le sourire et la elle lui expliqua plutôt froidement avec un sourire aux lèvres qu’elle ne lui faisait pas confiance et qu’elle le ferait surement jamais mais que cela n’allait pas l’empêcher de faire son travail au maximum, Jyoushiro qui avait sa main droite posé sur l’épaule de la jeune fille bougea l’autre devant la tête, signe qu’il venait de s’en prendre plein la tête et qu’elle n’avait pas compris ce qui voler dire il garda tout de même le sourire tout en restant assis a coté d’elle il dit :

« Oh…Que de répartie… J’aime bien ce genre de caractère au moins tu es franche mais sache que je ne te demande pas de me faire confiance tout de suite, je ne veux pas non plus que tu me saute dessus dès que tu me vois dans un couleur Yoake-san je veux juste que tu es confiance en moi et aux autres membres de cette division… Sache aussi que même si tu préfère mourir que de me faire confiance, toi tu as déjà ma confiance ! »

Fit le vieux Shinigami avec une voix douce, et oui il la connaissait que depuis trois jours et deux nuits mais il lui faisait déjà confiance c’était plutôt étrange mais le décoloré était comme ça toujours un peut niais. Il aimait faire confiance au autres et c’est ça qui le rend plus fort et qui lui fait plaisir car quand la personne en qui il avait confiance lui montre une preuve du fait que ce sentiment soit mutuelle le décoloré ne pouvait pas s’empêcher heureux à la fois pour lui est pour la division qui allait donc être renforcé par cette confiance mutuelle, et lorsqu’il vit la jeune brune baisser la tête pour une raison inconnu il la saisit puis la serra dans ses bras ce qui sembla étonner la jeune femme peut être était ce sont premiers contact humain affectif ? Pour Ukitake c’était une manière de montré sa confiance, la jeune fille se sentit tout de même obliger de sortir une petite remarque en disant a son supérieur qu’elle était désolé mais qu’elle ne coucher jamais le premier soir ceci fit rire aux éclats le javellisé il s’agissait d’un rire sincère et amicale, puis pour une raison inconnu il recula d’un pas en arrière puis glissa ce qui le fit tomber sur les fesses, il ne tarda alors pas a être rejoint par Yoake qui était toujours tenu par le capitaine celle-ci lui tomba dessus ce qui fit rire de plus belle décidément il était vraiment gamin parfois ce vieux, il dit alors d’une voix douce mais amusé :

« Oh… Je suis trop vieux pour ce genre d’idée Yoake-san…Même si tu es une très jolie femme ça n’a rien à voir je ne m’appel pas Shunsui … Ce geste était le signe de ma confiance et rien de plus… »

Sur ces mots Ukitake lâcha un petit rire puis la 4e siège de la division ce releva et vu qu’il y a encore quelque minute elle était a cheval sur les genoux le torse de son supérieur ce qui l’empêcher de bouger une fois celle-ci debout il ce leva doucement et frotta un peut son Haori blanc comme pour hotter la poussière qu’il y avait dessus il fit ensuite un grand sourire a Yoake toujours un peut étonner et fit :

« Oui…Oui je suis une véritable tête en l’air…Je me demande comment j’ai peux finir premier de mon examen avec un caractère pareil… »

La confiance ? Elle avait la confiance de son capitaine ? Déjà ? Elle trouva cela un peu naïf de la part d'un haut gradé, voir un peu insouciant pour quelqu'un qui devait diriger toute un Division... Enfin, c'était son capitaine, et puis s'il avait su tenir une Division pendant tout ce temps, c'était que peut être cette confiance était justifiée... Enfin de toute façon elle n'était pas là pour le juger ou même pour lui mettre une note. C'était juste un peu inquiétant que le capitaine fasse confiance à tout le monde alors qu'il devrait les mener jusqu'à la bataille... En fait, elle espérait secrètement qu'il ne croit pas un ennemi sur parole si celui-ci lui disait que non il l'attaquerait pas... C'était quand même sa vie qui était en jeu là. Cependant, il pouvait lui faire confiance... Elle sacrifierai sa vie, son âme, son intégrité physique ou mentale si cela pouvait lui sauver la vie. Oh, ce n'était pas parce qu'elle l'aimait, c'était juste une question de principes... Les officiers passaient avant tout, même s'ils étaient les pires salauds du monde. Eh oui, elle était comme ça Yoake... c'est à dire assez contradictoire. Pourtant, elle dut faire un effort pour ne pas répondre à son étreinte... Enfin, il restait son supérieur, il restait son supérieur, il restait son supérieur... Elle ne devait pas montrer la moindre émotion ou sentiment qui pourraient être mal pris, ou pris en compte tout simplement. Mais s'il continuait à la prendre dans ses bras et à agir comme il le faisait, elle hésiterait plus longtemps avant d'obéir à un ordre 'mineur'... En même temps, il le cherchait un peu. Ça lui apprendrait à ne pas imposer de limites dès le début à ses subordonnées. Surtout elle en fait...

Cependant, ce contact à la fois doux mais fort lui laissait un sentiment étrange dans le creux de l'estomac, un arrière goût dans la bouche. Elle ne savait pas d'où ça venait, car le contact en lui-même était très agréable, mais le fait qu'il vienne d'un de ses officiers... Il fallait lui faire confiance et ne pas trouver de sous-entendus pour l'apprécier au maximum. Ce qu'elle ne faisait pas, d'où l'étrange sentiment qui en ressortait. Elle ne répondit pas à l'étreinte de son capitaine, mais ne le repoussa pas non plus. Elle se détendit quelque peu en l'écoutant Apparemment, il n'avait pas d'idées derrière la tête, mais elle était trop méfiante pour lui faire entièrement confiance et le croire sur parole... Enfin, au moins il n'avait pas mal pris ses propos. Et puis, depuis quand prendre quelqu'un dans ses bras était un geste de confiance ? D'affection oui, mais de confiance il ne fallait pas exagérer... Ce n'était pas comme si non plus elle allait le transpercer avec sa lame s'il l'approchait de trop près. Si elle avait l'intention de le tuer, il serait déjà enterrer et n'aurait jamais vu son visage... Enfin, le capitaine éclata d'un rire franc et chaleureux, suffisamment fort pour réveiller la totalité du Sereireï et au moins les quarante premiers premiers secteurs du Rukongaï, mais également assez puissant pour le projeter en arrière et le faire tomber. Seul hic dans l'histoire, en plus d'être collée à lui, il la tenait dans ses bras. Et donc, il l'entraîna dans sa chute. Eh merde. Elle se retrouva allongée de tout son long sur le torse du capitaine, qui lui n'avait pas cessé de rire. En quoi la situation était-elle amusante ? Si jamais on les surprenait dans cette position-là, le lendemain elle serait assailli par les questions et les rumeurs abracadabrantes. C'était sûr au moins à quatre-vingt dix neuf pour cent. Son premier réflexe fut de se redresse, posant ses deux mains de chaque côté de la tête de son supérieur. Le visage à moins d'une dizaine de centimètres du sien. Retenant le sang qui voulait à tout prix monter jusqu'à ses joues, Yoake se redressa rapidement jusqu'à s'assoir à cheval sur le torse musclé de son capitaine. A peine pas suggestif la position. Elle baissa légèrement les yeux, et dit faiblement dans un soupir :

-Vous n'êtes pas vieux... Ou en tout cas, vous n'en avez pas l'air.

Puis, elle se releva et bondit sur ses pieds, s'écartant pour laisser l'homme aux longs cheveux blancs se relever. Hésitante d'abord, elle finit par lui tendre la main, pour l'aider à se mettre debout. Bon, non elle ne l'aimait toujours pas, mais disons que de la haine intensive, elle était passée à la curiosité, puis à la méfiance et à présent, elle était arrivée à une position de neutralité... Il devait être particulièrement naturel pour réussir à l'apprivoiser en si peu de temps. A un tel point que ça en devenait suspect... Mais bon, pour cette fois, Yoake avait envi de voir jusqu'où son capitaine pouvait aller, et aussi s'il était vraiment celui qu'il prétendait être. Et ça, rien n'était moins sûr. Elle redevint sérieusement, mais une pointe de curiosité pris le dessus pour l'examiner. Alors comme ça, il était terminé premier de son école de shinigami ? Oui, elle avait entendu quelque chose de ce style... Ah non, on lui avait simplement dit qu'il avait été avec le capitaine de la 8ème Division les premiers à être diplômés de cette Académie. Oui, c'était quelque chose dans ce goût là... Bref, Yoake ne connaissait rien des talents physiques ou techniques de son capitaine, elle ne pouvait donc pas le juger sur ses aptitudes au combat... Cependant, s'il avait comme il le disait terminer premier, alors il était possible qu'il soit plus fort qu'un officier banal. Et puis, il maîtrisait le Bankai, donc, ce n'était pas un adversaire à prendre à la légère. Surtout pas. Elle hocha évasivement les épaules et dit d'une voix très légèrement plus détendue :

-Peut être que vous étiez tout simplement assez doué pour cela... Ou peut être aussi que c'est un don inné chez vous.

Un compliment ? Oui, on pouvait le prendre comme ça. Même si Yoake préférait voir cela comme une 'constatation'. C'était le cas, mais dans ce cas précis, alors oui, cela pouvait s'apparenter à un compliment... Elle poussa un léger soupire et leva la tête, observant pensivement les étoiles... A son arrivée ici, elle n'avait aucun souvenir de ses vies précédentes, et donc avait appris leur noms et leur disposition avec les anciens du Rukongaï. Puis, une fois sa mémoire revenue, elle s'était souvenue du nom de celles dans le monde des humains... Le Hueco Mondo, il était inutile d'essayer de se repérer dedans, de toute façon il n'y avait nulle part où allait ni point de repère, alors à quoi bon ?

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